À 101 ans, Erpilio Trovati, ancien travailleur du STO, demande 33.400 euros pour 13 mois de travail forcé en Allemagne en 1944-1945. Son avocat qualifie cette démarche de « combat pour la mémoire ». Le tribunal administratif de Nice devrait rejeter la requête, invoquant la prescription quadriennale.
Source : Le Figaro
En savoir plus sur Direct Azur
Abonnez-vous pour recevoir les derniers articles par e-mail.
