Après la cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024, Thomas Jolly, le metteur en scène, a été la cible d’un cyberharcèlement massif, certains jugeant que son tableau « Festivité » blasphémait la Cène, ce qui a offensé de nombreux chrétiens. Si la colère religieuse, bien que compréhensible, d’après les autorités, cela ne saurait justifier la haine. 7 personnes dont 1 azuréen seront jugées pour menaces de mort et injures homophobes ou antisémites. Les autorités, dont Emmanuel Macron, ont dénoncé ces attaques, tandis que Jolly a évidemment rejeté toute intention blasphématoire.
Source : Nice Matin
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