Régis Brugière, cordiste de 38 ans, est mort en 2018 à Biot, frappé à la tête par un bloc de pierre après avoir manipulé des explosifs sans formation adéquate. La justice examine les responsabilités de trois cadres de la société CAN, poursuivis pour homicide involontaire. L’accusation dénonce un « salarié sacrifié sur l’autel de la rentabilité ». La procureure requiert des peines de prison avec sursis et 70 000 € d’amende pour l’entreprise. Verdict en avril.
Source : Nice Matin
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