Pour son 1er meeting de campagne, Christian Estrosi s’en est longuement pris aux trafiquants de drogue, demandant un sursaut de l’État qui « doit enfin se réveiller et arrêter d’avoir la main qui tremble ».
Il veut s’en prendre de toutes les manières et à tous les niveaux des trafics, à ceux qui en profitent et qui aident : « leur place est en prison, les menottes aux mains ».
Aux familles qui ferment les yeux, il promet l’expulsion des logements sociaux, déjà « 350 en 3 ans » à Nice, et souhaite qu’on puisse s’en inspirer nationalement pour que ces logements aillent à des « familles honnêtes ».
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