L’angle, les réflexions, les tournures, les citations… On retrouve à peu près tout ce qui fait l’article de Direct Azur dans celui de Nice-Matin, mais le lendemain et sans que Direct Azur ne soit cité. Il est normal de s’inspirer, mais camoufler vulgairement un copier-coller, sans citer, cela s’appelle du vol.
Évidemment, quelques petites précautions saupoudrées d’ordre à Chat Gpt du type « copie cet article de Direct Azur mais fais des modifications pour qu’on ne le reconnaisse pas », mais personne n’est dupe.
Depuis quelques temps, Nice-Matin ne cesse de multiplier les faux-pas, les disgrâces et les menaces envers ses confrères, là où on pourrait espérer une certaine noblesse de la part du grand média qu’il fut, du haut de ses 80 ans d’existence et de ses dizaines de millions d’euros de budget annuel.
Peut-être trop occupés à être en grève 35 jours par mois ou à tout faire sauf travailler, Nice-Matin, qui a pourtant un pont en or, se retrouve à copier-coller le travail d’un jeune média, sans même le citer, simplement pour ne pas le mettre en avant. Un détail me direz-vous, certes, mais qui en dit beaucoup.
Pour réparer cette erreur, nous demandons donc l’ajout de la mention « Selon un article publié par Direct Azur » insérée au début du texte principal ou accolée au nom de « l’autrice », afin de rétablir la « paternité réelle » de cette publication.
Quelles coïncidences… C’est à finir par croire qu’on est vraiment sur la même longueur d’onde avec Nice-Matin…
Extraits des deux articles

L’article Direct Azur publié le 20/12 à 17H20
L’article de Nice-Matin publié le 21/12 à 14h35
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